ART SACRÉ





Pieta

C'est une représentation de la descente du corps de Jésus de la Croix †. Il est étendu sur les genoux de Marie. Parfois, on l'appelle aussi Mater Dolorosa, du fait de la douleur qu'à dû ressentir Marie devant la mort de son Fils. Du moins, c'est ce qu'imagine l'homme, mais savoir comment a réellement réagi Marie liberée du pêché, bien "malin" qui pourra le savoir sur Terre. Il y en a une très belle à Saint Sulpice. Bien entendu, il y a la très fameuse œuvre de Michaël-Ange, au †Vatican†.
On remarque bien sur la photographie la composition propre à cette pièce artistique : la scène est comprise dans un triangle dont le sommet est occupé par la tête de la Sainte Vierge. Le corps sans vie de Jésus, qui semble alors avoir repris toute son humanité et perdu toute divinité (j'ai bien écrit semble) vient le couper transversalment dans une sorte de croix à la courbure descendante pleine de tristesse, le Mont Golgotha venant former une base et fermer le triangle. Ce schéma est repris à chaque pièce choississant de représenter cette de pièce, que ce soit en peinture ou en sculpture.

Outre la grande charge émotionnelle liée aux la circonstances bien particulières de la mort de notre Seigneur, qui accomplit nombre de prophéties de l'Ancien Testament, montrant bien au peuple historique de l'Alliance que c'est bien l'Agneau de Dieu, sa prémice, premier né d'entre les frères humains, qui a été sacrifié (rendu sacré, mais là par un processus violent de mise à mort), elle permet un temps de pause. Un temps de recueillement, car même si nous ne portons pas personnellement la responsabilité de ce péché supème qui a consisté à rejeter l'envoyer de Dieu, le Chist ou Messie, il est bon de s'assoir et de penser que sa mort & sa résurection nous montre que Dieu nous a donné un échapatoire face au néant des Enfers, qu'il existe une voie vers son Amour sans tache. Et que bien que pécheurs par condition, nous pouvons réfléchir à comment transformer les faiblesse qui nous tirent vers le rejet des autres et le rejet par les autres, en une force pour vivre en communion avec eux dans le Seigneur. Que malgré la douleur qui peut inspirer l'assassinat du Verbe de Dieu, il y a la grande joie de la Résurection et de la promesse du Salut, alleluia !

Cène

· Que ce soit en des repas pris simplement en petites communautés comme les agapes du début du christianisme, des commémorations du dernier repas, dans les temple ou chez le frère, comme chez les Amishs, ou les repas eucharistiques, au cours duquel le Christ vient matériellement en nous comme chez les catholiques romains ou les catholiques orthodoxes, le dernier repas du CHrist prend chez toutes les communautés chrétiennes une importance particulière. Il est donc fort logique que celle qui s'autorisent la représentation humaine essaient de donner une image la plus expressive possible de cet évangile particulier. Ceci se fera bien entendu en fonction, aussi, de la place que la confession laisse à l'égo de l'artiste.

Crucifixion

· Autre thème

Christ Pantocrator

· La vera icona : lien
Un cas particulier : les lec'hs bretons. ¶